Le Québec et l’après Copenhague

2010/02/02 | Par L’aut’journal 

Le Québec peut-il se donner une politique nationale progressiste en regard du climat ?

Le sommet de Copenhague a de nouveau fait ressortir le caractère rétrograde des politiques canadiennes à l’égard du climat. Or le temps presse et les prochaines discussions seront cruciales pour l’avenir de la planète.

Le Québec s’est donné des objectifs et un plan plus progressiste que le Canada, mais est-ce suffisant ?

Comment éviter que ces politiques ne soit contrées par un gouvernement fédéral qui dispose de davantage de moyens pour travailler en sens inverse de la communauté internationale ?

Le Québec peut-il, dans le contexte constitutionnel actuel, réduire sa dépendance au pétrole et faire sa part dans la réduction des gaz à effet de serre?

Si l’année de référence canadienne de 2006 est maintenue, le Québec sera-t-il pénalisé par la non reconnaissance de ses efforts de réduction par rapport au niveau de 1990 ?

Quel en serait le coût dans le cadre de la mise en place d’une bourse du carbone ?

Est-il même possible que les autres pays décident de sanctions qui s’appliqueraient au Québec en se fondant sur la piètre performance canadienne ?

Lundi le 8 février, de 19 h à 21 h 30

A l’UQAM, salle D-R200

Avec

Daniel Breton, porte-parole de Maîtres chez nous au 21e siècle ! (MCN21) et de la coalition Québec Kyoto, ex-candidat du NPD-Québec.

Bernard Bigras, Porte parole du Bloc Québécois en matière d’environnement, Député de Rosemont-Petite-Patrie.

www.ipsoquebec.org