Je n’en croyais pas mes yeux ce matin en lisant l’éloge dithyrambique que vous faites de Lucien Bouchard dans le Journal de Montréal.
Il y a une douzaine d’années, vous avez été l’un des premiers à dénoncer la motion scélérate du 14 décembre 2000 en dénonçant la fourberie de Lucien Bouchard et Jean Charest, deux comparses conservateurs recyclés dans la politique québécoise. Vous étiez jeune, il est vrai* ! Le moment de la vie alors que tout est pureté, idéal et droiture. Hélas, cela se gâte en vieillissant. Je constate avec chagrin que la valeur ne s’est pas ajoutée au nombre de vos années. Dommage ! J’aurais mis ma main dans le feu que vous étiez une exception à la règle.
*Corneille. Le Cid
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