Claude Picher traite son collègue Michel Girard de bouffon

 

Il ne manquera probablement pas de bouffons, dans le paysage, pour reprocher à Paul Martin de baisser les impôts des riches , écrivait Claude Picher en première page de La Presse (29/02/00) au lendemain du budget Martin.

Quelque jours plus tard, son collègue Michel Girard titrait sa chronique 0 Martin soigne les gros actionnaires (La Presse 01/03/00). Après avoir expliqué en détails la nouvelle réduction d'impôts sur les gains en capital et le report d'impôt sur options, Girard conclut 0 Où était l'urgence d'accorder plus de 300 millions d'économies d'impôts aux plus nantis ? .

Bouffon, va !