Obama et le Québec
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Ce jour-là, Benoît Pilon enfilait entrevue sur entrevue. Normal, son film « Ce qu’il faut pour vivre », en compétition officielle au Festival des films du monde, sortait le soir même en première mondiale.
Mm. Bouchard et Taylor avaient posé dans leur document de consultation la question fondamentale : l’inquiétude pour la survie de la majorité francophone au Québec est-elle fondée ?
Il faut tout mettre en oeuvre pour battre les Conservateurs », me lance Jean-Pierre Fortin – le nouveau directeur des TCA-Québec qui succède à Luc Desnoyers, maintenant à la retraite – rencontré le jour même où La Presse publiait un sondage donnant le parti de Stephen Harper en avance sur le Bl
En mai dernier, Hydro-Québec dévoilait le nom des entreprises ayant remporté le nouvel appel d’offres de 2000 mégawatts (MW) d’énergie éolienne.
C’est de sa maison de Melun, une coquette banlieue de Paris, qu’Anna Gavalda accorde par « mail » seulement les entrevues aux journalistes qui en font la demande. Cette fois, l’auteure de 37 ans ne rencontrera pas les médias, sauf quelques privilégiés. Sa décision est sans appel.
La campagne Obama-Biden approuve le fondement même de l’agenda de l’administration Bush en matière de politique étrangère: « pourchasser Oussama ben Laden, le débusquer ».
La rhétorique est plus douce, mais pour l’essentiel, Obama est pratiquement identique :
Le 20 avril dernier, l’ex-évêque Fernando Lugo est élu président du Paraguay. Son administration vient alors grossir les rangs d’une liste impressionnante de « gouvernements de gauche » démocratiquement élus en Amérique latine.
Que Barack Obama ait choisi de prononcer son discours d’acceptation de l’investiture démocrate le jour du 45e anniversaire du célèbre discours « I Have a Dream » de Martin Luther King marque la continuité dans la lutte pour l’émancipation des Noirs.
J’avais six ans lorsque j’ai rencontré ce qui me tient encore lieu de religion derrière la vitre patinée d’une librairie de la rue Papineau.
Mon top expert en lucidité à moi c’est Joseph Facal. Cet ancien ministre péquiste, qui porte très beaucoup à droite, est diplômé en sociologie, mais son immense génie lui permet de se prononcer, sans aucune réserve, sur un tas de sujets fort disparates.
*Au moment où la crise économique en développement mine patiemment, méthodiquement et systématiquement les bases économiques de l’économie mondiale et plus particulièrement celles des pays-phares du modèle néo-libéral – les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Irlande – l’Histoire s’apprête à mont
Une question de vie ou de mort. Le terme n’est pas utilisé en public. Mais en privé, c’est ainsi que plusieurs dirigeants syndicaux décrivent l’élection présidentielle de cet automne aux États-Unis, si on en croit le blogueur syndicaliste et auteur Jonathan Tasini.
La candidature de Barack Obama interpelle le Québec. Sa victoire – ou même une éventuelle défaite – provoquera une onde sismique qui atteindra nos rives.
Dimanche 31 août, sur le quai d’escale en construction à la Baie. C’est mollo. Les mêmes curieux et visiteurs que d’habitude flânent sur la promenade parmi les roulottes aménagées par les entrepreneurs en grande partie de l’extérieur, qui se partagent les 33M$ du chantier.