La crise ? Quelle crise ?
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Si je vous disais que présentement s’étudie un « droit de posséder des nuages », que déjà des machines expérimentales en fabriquent, que d’autres en attraperont.
Le Premier Mai est un moment propice pour replonger dans les livres d’histoire afin de mesurer le chemin parcouru par le mouvement ouvrier.
Le Premier Mai est une occasion privilégiée pour le mouvement syndical de faire le point sur ses luttes passées et ses perspectives d’avenir. Une réflexion d’autant plus essentielle qu’il s’apprête à faire face à la plus grave crise économique depuis la Grande Dépression des années 1930.
Les débuts de siècle se suivent et bizarrement s’acoquinent. Retournons en 1709. À prime abord, on s’attendrait à ce que tout soit différent.
Pour la première fois de son histoire, à partir du 1er juin prochain, le Salvador sera gouverné par un parti de gauche !
Jean Charest est aux oiseaux ! Des travailleuses et des travailleurs sont licenciés, des usines ferment, des régions agonisent. Mais rien ne le touche, rien ne l’atteint, rien ne le trouble, rien ne l’émeut. Tout va très bien, madame la marquise !
*Dans le contexte où l’actuelle crise économique mondiale est conjuguée à une rareté des ressources, les pays qui s’en sortiront le mieux seront ceux qui auront la pleine maîtrise de leur énergie et qui investiront dans le développement des énergies renouvelables.
En 2007, c’est plus de 150 000 travailleurs qui ont été victimes d’accidents du travail ou de maladies professionnelles et qui ont reçu des prestations de la Commission de la santé-sécurité au travail (CSST).
*La rapidité avec laquelle le gouvernement Charest a répondu aux suggestions du rapport Ménard sur le décrochage scolaire en s’associant à la Fondation Chagnon laisse perplexe.
Le 30 mai 2008, la Caisse de dépôt et placement du Québec perdait (en fait une perte qui doit être interprétée comme un gain pour les Québécois) son président Henri-Paul Rousseau – HP pour les intimes – au profit de Power Corp, cette transnationale québécoise qui contrôle beaucoup de services pu
Le recensement du Canada n’a d’abord tenu compte que de l’origine ethnique et de la langue maternelle de la population. Cela suffisait pour suivre l’assimilation des grandes vagues d’immigrants du début du XXe siècle, d’origine autre que britannique et française.
Le conflit au Journal de Montréal est d’une grande importance pour l’avenir de l’information au Québec.
Rouyn-Noranda - Les compagnies minières ont versé 259 M$, le sixième à peine des droits miniers dus à Québec depuis 2002, ce qui représente moins de 1,5 % de leur production de 17 milliards de dollars.
Alors que la crise économique entraîne des licenciements massifs à travers les pays industrialisés et que les syndicats cherchent à minimiser les dommages, les travailleurs français ont développé une façon particulière de négocier pour ne pas être les seuls à écoper.
L’hebdomadaire Le Réveil de Jonquière, propriété de Quebecor, a décrété un lock-out le 4 mars mettant à la rue 26 employés syndiqués.
Algérienne d’origine, exilée en France avec sa famille pour échapper à la mort, elle vit au Québec depuis 1997. Djemila Benhabib vient de publier son premier essai Ma vie à contre-Coran.