La fin du libre-échange
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Tout allait changer du tout au tout ! Le XIXe siècle s’annonçait déjà comme une enfilade de premières dans tous les domaines : politique, commercial, technologique et culturel. En s’inventant un devenir, on s’assurerait d’un avenir.
On a beau vouloir dire adieu à ses personnages, les lecteurs ne l’entendent pas toujours de la même façon. Micheline Lachance l’a appris à ses dépens. Au moment de la parution du roman « Les Filles tombées » en octobre 2008, les appels se sont multipliés à la maison d’édition.
Ce qu’on demande, c’est un moratoire sur la construction de petites centrales hydroélectriques privées et une véritable réflexion sur l’avenir énergétique du Québec », déclare Réjean Porlier, président du Syndicat des technologues d’Hydro-Québec, en entrevue à l’aut’journal.
Avis au lecteur : Certains lieux, institutions et personnages de ce texte ne sont pas empruntés à la réalité. Les événements qui y sont racontés, de même que les actions et les paroles prêtées aux personnages sont entièrement vrais… Malheureusement !
Dans un volumineux rapport qu’il vient de publier, le Conseil international du Canada – qui regroupe l’élite du monde des affaires du Canada – recommande une stratégie de positionnement mondial qui délaisse les États-Unis pour se tourner vers l’Asie.
Le Canada se redéfinit…. sans le Québec. Et, pourrions-nous ajouter, en bonne partie contre le Québec !
Le colonisé n’est sauvé de l’analphabétisme que pour tomber dans le dualisme linguistique… La colonisation converge vers la catalepsie sociale et historique du colonisé.
Un important document de stratégie géo-politique vient d’être publié par le Conseil international du Canada (CIC), un think tank parrainé par l’élite économique du pays.
Jack Jedwab n’a pas son pareil quand ça vient à culpabiliser les francophones. Le soir du référendum de 1995, on l’a immédiatement entendu sur les ondes de Radio-Canada donner au discours de Parizeau le spin que l’on sait.
C’était chaque fois la même chose. Elle entrait en coup de vent comme si elle venait de cambrioler le dépanneur. Je fabriquais alors une boulette de papier et la lançais sur le plancher. Elle s’élançait après, n’en finissait plus de jouer et de me la rapporter. C’était sans fin.
Le 18 mai 2010, La Presse affectait le journaliste Stéphane Paquet et le photographe Martin Tremblay a une « importante » conférence de presse de la papetière Cascades (qui est aussi propriétaire de Boralex, un exploiteur de petites centrales d’hydro-électricité au Québec), tenue afin de faire l
Monsieur Harper est un ami inébranlable d’Israël » s’est dernièrement écrié un Benyamin Netanyahou en visite au Canada. Donnèrent raison au premier ministre israélien les creuses paroles prononcées par « l’ami canadien » suite à l’abordage du « Mavi Marmara ».
En 2008, presque en même temps que l’ex-évêque et partisan de la théologie de la libération, Fernando Lugo, était élu président, la guérilla de l’Armée du peuple du Paraguay (EPP en espagnol) apparaissait dans le nord du pays.
Anglicisme : maladie qui vient de l’anglais ». Défini comme ça, c’est choquant – en tout cas, j’espère –, mais c’est pourtant ça qui se dégage des propos des chroniqueurs linguistiques pi de beaucoup de Québécois.
L’usine Signature Aluminium de Sainte-Thérèse ferme définitivement ses portes après plus de cinquante ans d’activité.
Toute l’histoire de la peinture est l’histoire du copiage. Un copiage caché. Car le copiage est une opération frauduleuse d’imitation servile. Malraux disait pourtant et il avait de « l’art évoluant » une expérience de premier plan : « On marche mal sur du vide ».