Des pics pour empêcher les itinérants de se coucher au pied des vitrines d'un des magasins Archambault à Montréal. Un maire qui tweete plus vite que son ombre, des chroniqueurs qui démasquent l'imposture, un propriétaire d'édifice qui parvient à garder l'anonymat. Les pics sont enlevés. Fin de l'histoire... Et les itinérants dont les plus voyants souffrent de maladie mentale eux? Bof! Semble dire la classe politique et sa horde de supporteurs qui s'affichent à la commission Charbonneau depuis 18 mois. On veut pas payer de taxes et l'État a un gros déficit. JosPublic vous présente ce qu'il a trouvé de pire et de mieux dans les médias pour parler d'un cas comme celui-là. À vous de tirer vos conclusions, les siennes apparaissent dans le titre du texte - JosPublic
Dans la même catégorie
2023/09/15 | L'éolien oui, mais... |
2023/09/15 | Critique du transgenrisme : des enjeux réels et importants |
2023/09/08 | Cours d’éducation à la sexualité : Un exemple de dérapage |
2023/09/06 | Itinérance : l’exemple de Granby |
2023/08/25 | L’obsession idéologique islamique du gouvernement Trudeau |