Des pics pour empêcher les itinérants de se coucher au pied des vitrines d'un des magasins Archambault à Montréal. Un maire qui tweete plus vite que son ombre, des chroniqueurs qui démasquent l'imposture, un propriétaire d'édifice qui parvient à garder l'anonymat. Les pics sont enlevés. Fin de l'histoire... Et les itinérants dont les plus voyants souffrent de maladie mentale eux? Bof! Semble dire la classe politique et sa horde de supporteurs qui s'affichent à la commission Charbonneau depuis 18 mois. On veut pas payer de taxes et l'État a un gros déficit. JosPublic vous présente ce qu'il a trouvé de pire et de mieux dans les médias pour parler d'un cas comme celui-là. À vous de tirer vos conclusions, les siennes apparaissent dans le titre du texte - JosPublic
Dans la même catégorie
2023/02/24 | Une dévalorisation sans fin |
2023/02/15 | Elghawaby : Quand l’antiracisme fait ricochet |
2023/02/15 | Le phénomène « woke » |
2023/02/08 | Le poste d’Amira Elghawaby n’est porteur d’aucun dialogue constructif |
2023/01/27 | Prix alimentaires : Parlons de solutions durables |