L'heure du choix
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La réaction d’Eliza-beth May à un vote des membres de son parti marquant leur opposition au colonialisme israélien est très anti-démocratique.
Le Québec avait amorcé sa restructuration et sa modernisation avant la Révolution tranquille et la « Grande noirceur » était plutôt une « période de pénombre où se fricotait très bien l’avenir », selon l’expression si juste de Jacques Ferron.
Au début des années 1970, le programme du Parti Québécois prévoyait que l’indépendance pourrait être déclarée avec l’accession au pouvoir, sans qu’il soit nécessaire de consulter la population par référendum.
Vous souvenez-vous du sketch dans le film de Woody Allen, Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans jamais oser le demander, dans lequel Allen lui-même, fourré dans un burkini tout blanc, incarnait un spermatozoïde ?
Pour la première fois de son histoire, le peuple québécois aura la chance de se doter d’une constitution. Il établira ainsi, par le rapatriement au sein de l’État du Québec de toutes ses lois, de tous ses impôts et de tous ses traités, la République du Québec.
Dans l’histoire de l’humanité, le protectionnisme a toujours nui à la prospérité. » Vous vous demandez quelle personnalité, méconnaissante de l’histoire économique et sociale du monde, a pu proférer une contre-vérité aussi grossière.
Les libéraux de Justin Trudeau souhaitent obtenir l’appui de la population pour la construction de l’oléoduc Énergie Est de la pétrolière albertaine TransCanada. Ils ont pu constater, à la fin du mois d’août, qu’ils ont du pain sur la planche.