Le Titanic climatique

Qui se souvient de la première bibliothécaire de la Bibliothèque technique de 1903, la lointaine ancêtre de la Grande Bibliothèque ? De la féministe qui réclamait l’égalité des sexes ? De la libre-penseuse qui a eu l’audace de faire incinérer son mari en 1909 ?

Je m’intéresse aux conditions de travail des employés de la fonction publique dans le contexte de la pandémie. J’ai contacté Laurent (prénom fictif), un de mes amis qui enseigne, depuis des années, dans une école secondaire en banlieue de Montréal et qui s’intéresse aux questions syndicales.

Daniel Boyer, le président de la FTQ, le reconnaît d’emblée : la Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) avait besoin d’être modernisée. « Nous étions des pionniers, il y a 40 ans, lors de l’adoption de la Loi. Aujourd’hui, le Québec se trouve bon dernier de classe pour la prévention.

La pandémie a réussi à créer un certain consensus chez les économistes. Même les adversaires coutumiers de l’intervention de l’État ont cette fois-ci appuyé l’intervention des banques centrales et des gouvernements pour soutenir l’économie.

Le 12 février, le Journal de Montréal publiait une deuxième itération de son « Palmarès des cégeps ». La première édition avait mis en évidence la domination absolue des cégeps anglophones, qui ont des taux de diplomation bien supérieurs à ceux des cégeps francophones.

Les lettres de l’alphabet ne sont pas, en elles-mêmes, détestables ou haïssables. Mais il arrive que des noms communs le deviennent par l’usage que l’on en fait. Des noms qu’on dit propres aussi, mais qui ne le sont pas toujours.

Magistral, le présent ouvrage témoigne, une fois de plus, de la rigueur exceptionnelle et de la lucidité sans faille du chercheur Charles Castonguay lorsqu’il s’agit de mesurer la vitalité – ou plutôt la déliquescence – du français en ce pays.

Des environnementalistes ont amplement démontré la nocivité du projet de gazoduc GNL au Saguenay. Des économistes ont établi noir sur blanc que le projet était économiquement non viable et déficitaire pour Hydro-Québec.