La face changeante du syndicalisme
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Édito
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L’AUT’JOURNAL MENSUEL
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Le Québec et la guerre en Ukraine,
La tradition pacifiste québécoise mise à mal
Claude Morin,
un espion au sein du Parti Québécois
La laïcité de l'État
socle du droit des femmes à l'égalité
L'immigration au Québec
Comment faire mieux
L'indépendance et la justice climatique
La petite histoire de la Loi sur la laïcité de l'État et de sa contestation juridique
Référendum 1995 :
Documents inédits
Le fiasco de la politique
inguistique canadienne
Le pari québécois
d'une culture avant le pays
Plaidoyer pour un
Québec indépendant
Le Canada, le Québec
et la pandémie
Le territoire d'un
Québec indépendant
La fin de la monarchie au Québec
Une charte pour la nation
La laïcité demeure l’enjeu majeur
Les droits des peuples autochtones et l’indépendance du Québec
L'indépendance, la constitution et la constituante
La Cour suprême, le droit international et l'indépendance du Québec
Le mouvement syndical est toujours aussi vivace. Malgré les fermetures d’usines, les délocalisations et le déclin du secteur industriel, le taux de syndicalisation s’est maintenu, au cours des dernières années, près de la barre du 40 %. Avec des incursions dans des classes d’emploi récemment apparues et des couches de la population jusque là inaccessibles, le mouvement syndical a rallié de nouveaux contingents de syndiqués. Des responsables de garde en milieu familial aux travailleurs agricoles, des familles d’accueil aux courtiers immobiliers, des aides domestiques de l’économie sociale aux spécialistes des nouvelles technologies, jusqu’aux stagiaires postdoctoraux, tous répondent Présent !, lorsqu’on leur propose une action collective pour faire valoir leurs droits et améliorer leur sort.