Avec la proposition du projet de loi 96 de modifier unilatéralement la Constitution canadienne, nous entrons dans le théâtre de l’absurde de Beckett et d’Ionesco. Nous attendons Godot collectivement.
Dans sa chronique du Devoir du 14 août dernier, Louis Cornellier consacre sa chronique au livre de notre collaborateur André Binette, Plaidoyer pour un Québec indépendant