Le cas Goldman Sachs
Abonnez-vous à notre infolettre
Édito
Coups de gueule
VIDÉO
L’AUT’JOURNAL MENSUEL
Publications
Le Québec et la guerre en Ukraine,
La tradition pacifiste québécoise mise à mal
Claude Morin,
un espion au sein du Parti Québécois
La laïcité de l'État
socle du droit des femmes à l'égalité
L'immigration au Québec
Comment faire mieux
L'indépendance et la justice climatique
La petite histoire de la Loi sur la laïcité de l'État et de sa contestation juridique
Référendum 1995 :
Documents inédits
Le fiasco de la politique
inguistique canadienne
Le pari québécois
d'une culture avant le pays
Plaidoyer pour un
Québec indépendant
Le Canada, le Québec
et la pandémie
Le territoire d'un
Québec indépendant
La fin de la monarchie au Québec
Une charte pour la nation
La laïcité demeure l’enjeu majeur
Les droits des peuples autochtones et l’indépendance du Québec
L'indépendance, la constitution et la constituante
La Cour suprême, le droit international et l'indépendance du Québec
Adaptation d’un article du journaliste indépendant Matthew Taibbi,pour le public québécois
La banque américaine Goldman Sachs a engrangé des milliards de dollars en profits lors de la dernière bulle immobilière. Elle avait eu la bonne idée d’assurer ses activités hautement risquées auprès de la compagnie d’assurance AIG.
Lorsque la bulle a crevé, AIG s’est retrouvée – comme d’autres institutions financières – au bord de la faillite.
Le gouvernement américain a garanti des prêts ou versé directement 185 milliards de dollars pour renflouer AIG qui en a remis immédiatement 13 milliards à Goldman Sachs, ce qui a permis à cette dernière de verser 10 milliards en primes et bonus à ses dirigeants et ses traders.
Ce n’était pas une première pour Goldman Sachs. Depuis 100 ans, elle a été de toutes les bulles financières. Elle prépare déjà la prochaine, la bourse du carbone.