Les 40 ans de L’aut’journal

2024/05/01 | Par L’aut’journal

L’aut’journal maintient fermement la tradition d’une presse socialiste, indépendantiste et populaire. À un moment où la gauche woke semble plus occupée à déconstruire tout ce qui reste de commun qu’à défendre les conditions de vie des gens ordinaires, le journal est plus important que jamais.
Bernard Émond, cinéaste

J’étais là au dixième anniversaire de L’aut’journal. 30 ans plus tard, je suis encore là pour saluer l’audace de son rédacteur en chef de nous livrer des contenus que les médias traditionnels n’osent pas publier.
Réjean Parent, ex-président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ)

Une anecdote, d’abord. Le 11 avril 2002, le président du Venezuela, Hugo Chavez, fut arrêté par une faction rebelle de l’armée et remplacé par un leader du milieu des affaires, Pedro Carmona. Je travaillais alors à la salle des nouvelles de Radio-Canada. Pour moi, cette tentative de coup d’État n’était pas une surprise. Un mois plus tôt, L’aut’journal avait publié un texte rapportant quelques rencontres entre des dirigeants états-uniens et des opposants vénézuéliens, dans le but de scénariser le coup d’État à venir. Les événements du jour y avaient été parfaitement anticipés.
C’est pour ce genre d’information que L’aut’journal est essentiel. C’est, à ma connaissance, la seule publication québécoise qui ait correctement analysé les dessous du génocide rwandais (dont on vient de rappeler le 30e anniversaire) ou les racines profondes de la guerre entre la Serbie et les anciennes Républiques yougoslaves de Croatie et de Bosnie-Herzégovine. Et dans le concert actuel anti-poutine et pro-armement qui prétend éclairer le conflit en Ukraine, L’aut’journal est une fois encore un des rares médias à avoir présenté une analyse moins manichéenne et résolument pacifiste.
Je parle d’information internationale. Mais cette originalité de point de vue, et surtout ce choix d’aller au-delà des « évidences » qui s’imposent dans le reste de la presse, concerne aussi la couverture nationale, syndicale et féministe du journal.
Je ne suis pas toujours d’accord avec chaque analyse ou chaque position défendue par les chroniqueurs. Qu’à cela ne tienne! Si je veux prendre un certain recul face à ce qui se dit ou s’écrit ailleurs, et face à mes propres idées arrêtées, j’ai besoin de ce regard différent et toujours pertinent.
Et dans un panorama journalistique où l’autonomie du Québec a été écartée et où le discours social-démocrate est souvent considéré comme ringard, il faut qu’au moins une publication rappelle que ces enjeux sont toujours aussi pertinents et urgents.
Pierre Sormany, journaliste, éditeur, auteur du manuel Le métier de journaliste

Depuis 40 ans, L’aut’journal contribue à soutenir les luttes qui font une différence dans le quotidien des travailleurs et des travailleuses et à dynamiser le débat social au Québec. Il est souhaitable que notre démocratie puisse continuer de compter sur des informations, des réflexions et des analyses indépendantes, progressistes et de qualité encore longtemps!
Magali Picard, présidente de la Fédération des travailleuses et travailleurs du Québec (FTQ)

Je tiens à saluer le 40e anniversaire de L’aut’journal, un journal populaire et indépendant qui accorde beaucoup de place aux luttes syndicales et politiques québécoises.
Je profite de cette occasion pour souligner le travail exceptionnel du directeur de ce journal engagé, notre camarade Pierre Dubuc. Merci de publier certaines de mes contributions au sujet de la solidarité internationale.
Osvaldo Nuñez, ex-député fédéral

Soutenir la presse indépendante, c’est contribuer à la libre circulation des idées et des points de vue. Depuis maintenant 40 ans, L’aut’journal donne une voix aux travailleuses et aux travailleurs et nourrit la réflexion collective. Au fil des ans, nombre de sujets dans l’angle mort de l’espace public se sont d’abord retrouvés entre ses pages! Dans le contexte actuel, cette diversité est précieuse. Merci!
Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ)

J'ai vraiment découvert L'aut'journal à l'époque où je le livrais. Je découvrais tous les points où on le déposait, les syndicats, les asso étudiantes, etc. Je le lisais dans le camion, avec un appétit particulier pour les chroniques d'André Maltais, l'un des seuls journalistes au Québec à couvrir intelligemment l’actualité de l'Amérique latine.
Jules Falardeau, cinéaste et réalisateur

À la Confédération des syndicats nationaux (CSN), nous croyons que l’accès à une presse indépendante et diversifiée constitue l’un des piliers de notre démocratie. Depuis sa création, il y a maintenant 40 ans, L’aut’journal contribue, par sa couverture des enjeux syndicaux et sociétaux, à nourrir le débat public de manière originale. Voilà un apport qui mérite d’être soutenu!
Caroline Senneville, présidente

Depuis plus de 40 ans, L’aut’journal combat la pensée unique avec une diversité de points de vue. J’encourageais mes élèves en sociologie de le lire pour avoir une perspective autre que celle du cou-rant néolibéral. De nos jours, L’aut’journal combat encore la pensée unique en publiant des articles qui peuvent s’inscrire dans des courants de pensée différents.
Michèle Sirois, anthropologue et présidente de Pour les droits des femmes du Québec

Unifor soutient L'aut'journal pour son engagement envers les travailleuses et travailleurs, la justice sociale et la démocratie. En tant que syndicat progressiste, Unifor reconnaît l'importance de soutenir les médias indépendants qui promeuvent la diversité d'opinions et la liberté d'expression ainsi qu’une voix critique nécessaire dans le paysage médiatique contemporain.
Daniel Cloutier, directeur québécois d’Unifor

De plus en plus, les nouvelles et les analyses qui les encadrent doivent parler de ce dont tout le monde parle. Le principe de résonance et la « compétition pour l’attention » tendent ainsi à éloigner des médias l’usage autonome du discernement professionnel. Régulièrement, alors, passent inaperçus du public des faits qui comptent vraiment, et cela faute de capacités indépendantes d’en saisir le sens ou du loisir d’en faire état. L’aut’journal est de plus en plus nécessaire; le jugement instruit y étant libre, c’est de lui seul que relève ce qu’il offre à l’attention ou qu’il propose à la compréhension.
Gilles Gagné, sociologue, Université Laval

Il faut soutenir les instruments de liberté! C’est pourquoi la lecture de L’aut’journal est si importante. Son indépendance critique, l’étendue de ses préoccupations et une ligne éditoriale rigoureuse et pertinente lui confèrent une place et un rôle indispensables. Son combat pour l’indépendance, la solidarité et la justice enrichit le Québec.
Robert Laplante, directeur de L’Action nationale

Le Syndicat de Champlain (CSQ) souhaite un joyeux 40e anniversaire à L’aut’journal. Nous sommes fiers de participer à votre mission d’indépendance et votre engagement à promouvoir la pensée critique. Comme organisation syndicale, nous croyons en l'importance des journaux qui défient le statu quo et encouragent les débats de société. À la continuité d’une belle relation.
Jean-François Guilbault, président

40 ans de journalisme solidaire, ce n’est pas rien ces jours-ci. Avec une voie alternative qui ajoute un angle différent et critique aux enjeux de la société québécoise L’aut’journal alimente une saine réflexion et apporte des points de vue originaux qui se démarquent. Ne craignant pas la controverse, ses articles n'hésitent pas à dénoncer l'intolérable et à remettre en question les idées reçues. Ce genre de publication est un moteur de progrès social et est essentiel à une saine démocratie.
Syndicat des employé-es de métier d’Hydro-Québec-SCFP 1500

Le Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ) félicite L’aut’journal pour ses 40 ans d’existence. Nous sommes fiers de soutenir et contribuer à cette tribune de presse qui aborde des dossiers souvent mis de côté par les grands médias, mais qui sont d’actualité et d’en faire une analyse d’un point de vue différent tout en défendant les intérêts du Québec.
Christian Daigle, président

L'aut'journal est pour moi une voix rassurante. Ce journal porte bien son nom. L'information que j'y trouve n'a d'égale nulle part. Elle est intelligente, courageuse, engagée, perspicace, de bonne qualité, et elle évite le fanatisme et le gauchisme aussi bien que la condescendance.
Ce courage et cette ouverture dont témoigne L'aut'journal tient beaucoup de la force, de la rigueur et de l'ouverture d'esprit de celui qui en est à la fois le père, l'âme et le soutien indéfectible, Pierre Dubuc. Merci et bravo Pierre!
C'est une grande fierté et, si modeste soit-il, ce journal est une précieuse référence à l'heure où les débats véritables sont de plus en plus difficiles. Il est nécessaire. Il faut surtout éviter de le tenir pour acquis.
Roméo Bouchard, Saint-Germain-de-Kamouraska

Le 40e anniversaire de L’aut’journal est l’occasion de constater que certains défis du réseau de l’éducation traversent les époques. L’existence d’un média indépendant accordant une place aux enjeux de fond en éducation et touchant la profession enseignante est nécessaire pour alimenter la réflexion. La Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE-CSQ) est fière d’appuyer L’aut’journal!
Josée Scalabrini, présidente

Si L’aut’journal n’existait pas, il aurait fallu l’inventer! Déjà à l’occasion de son 15e anniversaire en 1999, à l'invitation de Paul Rose, j’étais là au Medley pour témoigner de mon soutien à ce média sans lequel certaines informations et certaines opinions ne trouveraient nulle part ailleurs leur place dans les médias dominants. Libre, indépendant et indépendantiste, L’aut’journal c’est chez-moi!
Mohamed Lotfi

Une publication essentielle pour faire écho aux besoins des profs de Montréal et aux enjeux de notre école publique. En pleine crise des médias, il est essentiel de pouvoir compter sur des médias indépendants pour porter nos revendications. L’aut’journal joue ce rôle depuis maintenant 40 ans!
Catherine Beauvais-St-Pierre, présidente de l’Alliance des professeures et professeurs de Montréal

Étant toujours indépendantiste et que l’unité des indépendantistes démocrates tant conservateurs que les progressistes est nécessaire pour gagner la bataille de l’indépendance, car elle pourrait transformer le statu quo en crise politique majeure, je suis content que L’aut’journal existe. Comme les fédéralistes au pouvoir répugnent à rouvrir la constitution qui nous est imposée, j'apprécie lire dans L’aut’journal des articles tant sur le débat sur l’avenir de la monarchie et son abolition, sur la critique du néolibéralisme et le manque de souci pour les services d’éducation et de la santé au Québec, sur ce qu’est l’esprit républicain et la souveraineté populaire et la critique de la prétendue autonomie fédéraliste caquiste, pur vernis mystificateur qui n’est d’aucune utilité pour la nation québécoise et qui nous fait tourner en rond!
Robert Comeau, historien et professeur à la retraite de l’UQAM

L'aut'Journal incarne notre voix. Un journal indépendant, progressiste et indépendantiste qui défend les travailleurs avec ardeur. Avec une vision de gauche affirmée, il place les syndicats au cœur de son combat pour la justice sociale. Son travail acharné nourrit un discours engagé, reflétant les aspirations d'une société plus juste.
Éric Pronovost, président de la Fédération du personnel de soutien scolaire (FPSS-CSQ)

Nous, chez Ferrisson, avons la chance d’être soutenus par L’aut’journal depuis le tout début de nos activités de production vidéo il y a 12 ans. Cela parce que les gens auxquels nous nous intéressons dans nos émissions, sont très souvent les mêmes progressistes qui lisent L’aut’journal, en raison de son information de qualité. Bon quarantième!
Darisse Bellavance

L'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) est fière de soutenir L'aut'journal, une publication indépendante proche des travailleuses et des travailleurs, qui suscite des réflexions et met en lumière les enjeux sociaux, politiques et environnementaux avec une perspective progressiste depuis maintenant 40 ans. Merci pour votre apport à la société québécoise et longue vie à L’aut’journal !
Robert Comeau, président de l’APTS

Je soutiens et je lis L’aut’journal depuis presque les débuts de ses 40 ans d’existence. C’est une longévité remarquable. J’apprécie l’humour politique de Michel Rioux et la justesse et la solide documentation des éditoriaux du directeur Pierre Dubuc.
Je lis également les chroniques régulières d’excellente qualité sur l’environnement, l’économie, la langue et l’immigration.
J’aime en particulier le fait que le journal offre rapidement une analyse de l’actualité sous l’angle indépendantiste et de gauche. Enfin, l’accès aux archives numériques est une source que j’utilise à l’occasion pour préparer mes propres articles. 
Merci de ces 40 années au service de l’émancipation du Québec et longue vie à L’aut’journal.
Gilbert Paquette, président du Mouvement Québec Indépendant

Bon 40e anniversaire à L’aut’journal de la part du Syndicat des employés(e)s de magasins et de bureaux de la SAQ (SEMB-SAQ)! C'est important pour nous de soutenir L'aut’journal, car nous y trouvons des articles pertinents, des informations multiples qui peuvent nous outiller dans nos fonctions syndicales et politiques. 
Lisa Courtemanche, présidente SEMB-SAQ

L’aut’journal peut prétendre à un rôle de précurseur dans le débat d’idées au Québec. Le lire vous ouvre aux questions qui animeront bientôt la cité.
Stéphane Vigneault, École ensemble

L’aut’journal est un exemple d’outils démocratique dans une société dynamique. Je ne fais pas partie des personnes qui partagent tout ce qui est écrit dans ce médium, mais j’apprécie le lire et cela me permet de réfléchir et d’ouvrir mes horizons. Comme féministe matérialiste, j’aime lire sur l’action syndicale et les enjeux de sociétés, sujets moins traités par les médias traditionnels.
Me Christiane Pelchat

Je lis L’aut'journal depuis sa création, il y a 40 ans. Un journal qui porte bien son nom: c'est l’envers de la médaille, l’alternative aux médias conventionnels. Il est indépendant et critique, tant sur les questions d’actualité nationale qu’internationale. Il a un parti pris: le syndicalisme, la classe ouvrière. Il faut aussi célébrer la persévérance et la clairvoyance de son fondateur Pierre Dubuc.
Jacques B. Gélinas, auteur

Merci à L’aut’journal de diffuser des articles respectueux et bien documentés sur des enjeux de la société québécoise. Votre apport est essentiel puisqu’en offrant une perspective différente de celle que l’on retrouve dans les grands médias, il permet d’approfondir notre compréhension de ces enjeux et de nourrir notre réflexion.
Marie-Claude Girard, retraitée de la Commission canadienne des droits de la personne

Depuis nombre d’années, l’Alliance de la fonction publique du Canada, région Québec (AFPC-Québec) soutient L’aut’journal afin de promouvoir une voix indépendante et progressiste unique du paysage médiatique québécois. Les qualités de ce journal et de sa ligne éditoriale sont depuis toujours alignées avec nos valeurs sociales et syndicales. Longue vie à cette publication et bon 40e anniversaire à toute l’équipe.
Yvon Barrière, vice-président exécutif régional

La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal est fière de soutenir L’aut’journal. C’est un journal pro-gressiste et indépendantiste, mais surtout un journal de cœur. Les personnes qui y contri-buent le font dans l’objectif d’atteindre un jour notre liberté, notre pays. L’indépendance est à nos portes et l’apport de L’aut’journal est fondamental dans la transmission des connaissances. Vive L’aut’journal!
Marie-Anne Alepin, présidente générale de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal